http://www.cnbc.com/id/23526903
Friday, 7 Mar 2008
Surprise Friday
Every Friday Fast Money treats viewers to a surprise guest. This week we spoke with energy specialist Matt Simmons who told us oil could go over $300.
As you know already, oil prices made a new record on Friday after the weaker dollar and inflation sent prices above $106 a barrel. We thought you'd like hearing from Simmons, the Chairman of Simmons & Co., because his firm is the only independent investment bank specializing in the entire spectrum of the energy industry.
Founded in 1974, the firm has acted as financial advisor in over $123 billion of transactions, including 511 merger and acquisitions worth over $88 billion.
Following is a summary of the main points made by Simmons during his interview with the Fast Money traders.
You’re predicting $378 a barrel!?
“We don't understood the value of oil (domestically), replies Simmons. In England they’re paying the equivalent of $9 a gallon for gasoline. That translates to $378 a barrel and it’s having little impact on England's economy, right now.""The cost of oil is going up, he adds, it’s getting scarcer. We’re not going to run out but we are peaking.
”What about the Canadian oil sands? Won’t they save us?
“They are vast in quantity," replies Simmons. "But they require an unbelievable amount of energy to create oil. And what you end up with is low quality oil that has to be upgraded and blended with high quality oil to get synthetic crude.”
What’s the Club of Rome and how does it factor into oil production?“It’s a book that was written in 1970 by some futurists that were really worried that by 2050 we were going to start running out of things,” explains Simmons. “There was nothing in the book about running out of oil. That was just something people made up."
jeudi 27 mars 2008
mercredi 26 mars 2008
La société Total annonce le peak oil !
"Nous ne sommes pas au pic des réserves..... mais au pic de la production".
Par Patrick Reymond
Cette déclaration est faite dans Capital par Christophe de Margerie, dirigeant du groupe Total.
Il met en exergue la production insuffisante, l'investissement défaillant. Total investit 75 % de ce qu'investit Exxon, deux fois plus gros que lui.Les états, de moins en moins inclinent à laisser faire les compagnies et brader leur ressources. Mais C. De Margerie devient totalement inconoclaste en se préoccupant aussi de REDUIRE LES CONSOMMATIONS.
Le capitalisme financier et boursicoteur se souci finalement très peu de l'essence même du capitalisme "Plaisir de l'accumulation au lieu de l'accumulation des plaisirs".Dans bien des domaines, ce plaisir, l'investissement (physique) a été comprimé au maximum, pour laisser place à la spéculation pure et dure.Et le spéculateur, lui, n'a pas à se préoccuper de satisfaire les besoins.Des besoins tendus lui conviennent tout à fait, que ce soit dans l'alimentation, l'énergie ou autre.Ce qui lui déplait, c'est l'abondance.
On est passé d'un monde, fin des années 1980, où on avait, partout dans le monde, massivement investi, à un monde où l'on ne recherche, ni n'investit plus rien. En effet, on se contente "d'explorer" les recherches anciennes des autres.Notamment en France, où on "exploite" les recherches du BRGM (Bureau des recherches géologiques et minières) en Afrique, au 19°siècle.
Il ne suffit pas de dire "on peut", il faut "faire". Et quand on peut investir, on peut tout à fait investir dans le renouvelable. "
http://www.leblogenergie.com/2008/03/nous-ne-sommes.html
Par Patrick Reymond
Cette déclaration est faite dans Capital par Christophe de Margerie, dirigeant du groupe Total.
Il met en exergue la production insuffisante, l'investissement défaillant. Total investit 75 % de ce qu'investit Exxon, deux fois plus gros que lui.Les états, de moins en moins inclinent à laisser faire les compagnies et brader leur ressources. Mais C. De Margerie devient totalement inconoclaste en se préoccupant aussi de REDUIRE LES CONSOMMATIONS.
Le capitalisme financier et boursicoteur se souci finalement très peu de l'essence même du capitalisme "Plaisir de l'accumulation au lieu de l'accumulation des plaisirs".Dans bien des domaines, ce plaisir, l'investissement (physique) a été comprimé au maximum, pour laisser place à la spéculation pure et dure.Et le spéculateur, lui, n'a pas à se préoccuper de satisfaire les besoins.Des besoins tendus lui conviennent tout à fait, que ce soit dans l'alimentation, l'énergie ou autre.Ce qui lui déplait, c'est l'abondance.
On est passé d'un monde, fin des années 1980, où on avait, partout dans le monde, massivement investi, à un monde où l'on ne recherche, ni n'investit plus rien. En effet, on se contente "d'explorer" les recherches anciennes des autres.Notamment en France, où on "exploite" les recherches du BRGM (Bureau des recherches géologiques et minières) en Afrique, au 19°siècle.
Il ne suffit pas de dire "on peut", il faut "faire". Et quand on peut investir, on peut tout à fait investir dans le renouvelable. "
http://www.leblogenergie.com/2008/03/nous-ne-sommes.html
Les tourments du marché chinois
En octobre dernier, quelques investisseurs de renom émettaient des inquiétudes face aux niveaux atteints par les Bourses chinoises en 2007.
Jim Rogers mettait en garde la communauté financière sur les conséquences d'un éclatement de la « bulle chinoise ». Et ce qui devait arriver arriva : les indices de Shanghai et Shenzhen sont en retrait de 31,4 % et 20,3 % respectivement depuis le début de l'année, ce qui pousse les pertes depuis le pic enregistré en octobre 2007 à 41,4 % et 27,2 %.
L'accélération des pressions inflationnistes (le CPI index est sorti à +8,7 % en février, un plus haut de 11 ans, une hausse causée en partie par de forts prix à l'alimentation (+23,3 % au cours du même mois)) et des tensions politiques, avec notamment des révoltes au Tibet et certaines provinces voisines, mettent la pression sur le pouvoir central pour maintenir une certaine « sérénité » à l'approche des jeux olympiques de cet été. Et une fois n'est pas coutume, même les promoteurs immobiliers chinois se retrouvent dans une situation complètement opposée à celle d'il y a six mois. Les prix de l'immobilier montrent des signes de faiblesse au moment même ou le gouvernement fait tout ce qu'il peut pour limiter la progression du crédit.
Aussi, ces entreprises qui ont emprunté à la fin 2007 sont à court de cash et dans l'impossibilité de construire sur des terrains achetés au prix fort. Evergrande Real Estate Group, un développeur basé a Guangzhou, a dû remettre à plus tard l'introduction en bourse de son titre (qui aurait due avoir lieu la semaine passée), citant de mauvaises conditions de marché... La moitié du capital levé aurait dû servir pour payer des terrains achetés l'an passé ! Au bilan, la société reste criblée de dettes et on peut se poser des questions sur la solvabilité de celle-ci quand au même moment de nombreux acheteurs potentiels se rétractent et les prix des appartements chutent par endroits assez fortement.
M. Wang, président de China Vanke, un géant du secteur immobilier, annonce d'ailleurs qu'une baisse de 30 % serait un juste retour à la moyenne... Dans ces conditions, les mois à venir risquent d'être fort houleux en Chine et il ne faudrait pas grand-chose (comme une nouvelle accélération des cours des matières premières agricoles) pour mettre le feu aux poudres. Acheter des actions chinoises aujourd'hui reste prématuré. A suivre...
Source: Diapason commodities
Jim Rogers mettait en garde la communauté financière sur les conséquences d'un éclatement de la « bulle chinoise ». Et ce qui devait arriver arriva : les indices de Shanghai et Shenzhen sont en retrait de 31,4 % et 20,3 % respectivement depuis le début de l'année, ce qui pousse les pertes depuis le pic enregistré en octobre 2007 à 41,4 % et 27,2 %.
L'accélération des pressions inflationnistes (le CPI index est sorti à +8,7 % en février, un plus haut de 11 ans, une hausse causée en partie par de forts prix à l'alimentation (+23,3 % au cours du même mois)) et des tensions politiques, avec notamment des révoltes au Tibet et certaines provinces voisines, mettent la pression sur le pouvoir central pour maintenir une certaine « sérénité » à l'approche des jeux olympiques de cet été. Et une fois n'est pas coutume, même les promoteurs immobiliers chinois se retrouvent dans une situation complètement opposée à celle d'il y a six mois. Les prix de l'immobilier montrent des signes de faiblesse au moment même ou le gouvernement fait tout ce qu'il peut pour limiter la progression du crédit.
Aussi, ces entreprises qui ont emprunté à la fin 2007 sont à court de cash et dans l'impossibilité de construire sur des terrains achetés au prix fort. Evergrande Real Estate Group, un développeur basé a Guangzhou, a dû remettre à plus tard l'introduction en bourse de son titre (qui aurait due avoir lieu la semaine passée), citant de mauvaises conditions de marché... La moitié du capital levé aurait dû servir pour payer des terrains achetés l'an passé ! Au bilan, la société reste criblée de dettes et on peut se poser des questions sur la solvabilité de celle-ci quand au même moment de nombreux acheteurs potentiels se rétractent et les prix des appartements chutent par endroits assez fortement.
M. Wang, président de China Vanke, un géant du secteur immobilier, annonce d'ailleurs qu'une baisse de 30 % serait un juste retour à la moyenne... Dans ces conditions, les mois à venir risquent d'être fort houleux en Chine et il ne faudrait pas grand-chose (comme une nouvelle accélération des cours des matières premières agricoles) pour mettre le feu aux poudres. Acheter des actions chinoises aujourd'hui reste prématuré. A suivre...
Source: Diapason commodities
mardi 25 mars 2008
Jim Rogers: 'Abolish the Fed'
vidéohttp://www.cnbc.com/id/23588079/
Jim Rogers: 'Abolish the Fed'
By CNBC.com 12 Mar 2008 09:54 AM
Federal Reserve Chairman Ben Bernanke should resign and the Fed should be abolished as a way to boost the falling dollar and speed up the recovery of the U.S. economy, investor Jim Rogers, CEO of Rogers Holdings, told CNBC Europe Wednesday.
Asked what he would do if he were in Bernanke's shoes, Rogers, who slammed the Fed for pouring liquidity in the system and accepting mortgage-backed securities as guarantees, said: "I would abolish the Federal Reserve and I would resign."If this happened, "we don't have anybody printing money, we don't have inflation in the land, we don't have a collapsing U.S. dollar," he told "Squawk Box Europe.
"The Federal Reserve announced on Wednesday a rescue package that it would put around $200 billion into banks and investment houses and allow them to put up risky home-loan packages as collateral.Wall Street responded to the news with the biggest rally of the year, but Rogers reminisced of the 1970s, when the Fed printed money to avert a recession, boosting inflation and then forcing interest rates to more than 20 percent to keep a lid on price rises.
"No country in the world has ever succeeded by debasing its currency," he said.
"That's what this man is trying to do. He's trying to debase the currency as a way to revive America. It has never worked in the long term or the medium term."'Socialism for the Rich'The Fed's move to accept risky collateral is not part of the central bank's business, he added."What is Bernanke going to do? Get in his helicopter and fly around the world and collect rents? That's absurd," Rogers said.
A recession may be a good way to clean up the economy, while trying to prevent one may cost more and actually worsen the recession, Rogers said. Also, investment banks should be allowed to fail."Listen, investment banks have been going bankrupt since the beginning of time. If people make mistakes -- if you bail out every investment bank that gets in trouble, that's not capitalism, that's socialism for the rich," he said.
The weakest financial institution is Fannie Mae, in Rogers' opinion, "but all of them have problems."
Why the Fed MattersStock Picks to Beat RecessionTech, Infrastructure and Energy Stocks He said he had a short position on all investment banks and is buying agricultural commodities such as cotton, wheat, coffee and sugar and was also buying the Chinese yuan and the Japanese yen."
Buy agriculture. Agriculture is one of the few places where you're going to make a fortune in the next years," Rogers said.
Jim Rogers: 'Abolish the Fed'
By CNBC.com 12 Mar 2008 09:54 AM
Federal Reserve Chairman Ben Bernanke should resign and the Fed should be abolished as a way to boost the falling dollar and speed up the recovery of the U.S. economy, investor Jim Rogers, CEO of Rogers Holdings, told CNBC Europe Wednesday.
Asked what he would do if he were in Bernanke's shoes, Rogers, who slammed the Fed for pouring liquidity in the system and accepting mortgage-backed securities as guarantees, said: "I would abolish the Federal Reserve and I would resign."If this happened, "we don't have anybody printing money, we don't have inflation in the land, we don't have a collapsing U.S. dollar," he told "Squawk Box Europe.
"The Federal Reserve announced on Wednesday a rescue package that it would put around $200 billion into banks and investment houses and allow them to put up risky home-loan packages as collateral.Wall Street responded to the news with the biggest rally of the year, but Rogers reminisced of the 1970s, when the Fed printed money to avert a recession, boosting inflation and then forcing interest rates to more than 20 percent to keep a lid on price rises.
"No country in the world has ever succeeded by debasing its currency," he said.
"That's what this man is trying to do. He's trying to debase the currency as a way to revive America. It has never worked in the long term or the medium term."'Socialism for the Rich'The Fed's move to accept risky collateral is not part of the central bank's business, he added."What is Bernanke going to do? Get in his helicopter and fly around the world and collect rents? That's absurd," Rogers said.
A recession may be a good way to clean up the economy, while trying to prevent one may cost more and actually worsen the recession, Rogers said. Also, investment banks should be allowed to fail."Listen, investment banks have been going bankrupt since the beginning of time. If people make mistakes -- if you bail out every investment bank that gets in trouble, that's not capitalism, that's socialism for the rich," he said.
The weakest financial institution is Fannie Mae, in Rogers' opinion, "but all of them have problems."
Why the Fed MattersStock Picks to Beat RecessionTech, Infrastructure and Energy Stocks He said he had a short position on all investment banks and is buying agricultural commodities such as cotton, wheat, coffee and sugar and was also buying the Chinese yuan and the Japanese yen."
Buy agriculture. Agriculture is one of the few places where you're going to make a fortune in the next years," Rogers said.
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